Cette bouille là ? C'est moi !

Je me suis dit que j'allais quand même vous partager une photo, pour que vous puissiez mettre un visage sur ma petite histoire.

Et puis ça vous donne un avantage sur moi. Vous savez maintenant à quoi je ressemble.

J'aurais pu vous faire tout un texte pour vous parler de moi, de mon parcours, de mon art ... etc. Mais vous n'êtes pas là pour ça. Vous êtes là pour vous. Et comme vous n'avez pas de temps à perdre, je vous partage mon expérience sous forme de choix. 

Je trouve important que vous puissiez savoir à qui vous avez à faire avant me faire confiance pour vous accompagner, mais je trouve tout aussi important de vous laisser le choix d'en savoir plus ou non.

Aussi, pour ceux qui le souhaite, je vous invite à sélectionner l'onglet qui correspond à vos besoins, à vos interrogations ou tout simplement à votre curiosité.

Vous vous apercevrez que toutes les thérapies que je propose, je les ai pratiquées sur moi-même. Je ne me suis pas contentée de faire des formations et de me lancer. Non ! J'ai testé, j'ai pratiqué et seulement parce que les résultats ont été plus que convainquant, je me suis formée pour vous offrir le meilleur.

C'est donc mon expérience professionnelle, mais aussi personnelle que je mets à votre service.

Je n'ai pas toujours été une non-fumeuse et fière de l'être

Qui de mieux qu'une ancienne fumeuse pour vous comprendre et vous accompagner ?

26 ans ! C'est le nombre d'année durant lesquelles j'ai fumé. Soit plus de la moitié de ma vie, considérant qu'au moment où j'écris ces lignes j'en ai 42.

Je suis d'une génération qui a vue des publicités télévisées vanter les cigarettes, dont la majorité des membres de la famille fumait. A table, en voiture, au restaurant, dans les bars, sur la plage. La cigarette était partout.

Elle était devenue un symbole qui affirmait la condition d'adulte d'une personne. Un geste et un droit reservé aux grandes personnes, qui me serait accessible une fois adulte. Je voyais en elle un geste d'émancipation. 

Elle faisait partie de la famille et de la vie normale.

Les non-fumeurs étaient montré du doigt, et moi je voulais faire partie d'un groupe. Être populaire. 

C'est donc à 13 ans que j'ai dit "oui" à ma première cigarette. Je voulais faire comme le reste de la bande de copains, et m'intégrer.

Puis avec le temps, je me suis forgée une identité au travers de la cigarette. Je n'ai pas honte de le dire, j'ai été fière d'être fumeuse.

Je trouvais que cela me donnait un côté classe à la Audrey Hepburn, et que fumer me donnait une position sociale de femme affirmée et indépendante avec du caractère. La cigarette faisait de moi une femme fatale !

J'étais une fumeuse et fière de l'être !

Cette fierté et cette image d'affirmation, ma coûter l'équivalent de 59 900 €. Vous imaginez, j'ai fumé près de 60 000 € !

Faites le calcul. Depuis combien de temps vous fumez ? A raison de combien de paquets par mois ? Avec une moyenne de 8 € le paquet (les tarifs augmentent année après année, ça permet de faire une moyenne.) Le but de l'exercice étant de se rendre compte du montant dépensé dans de la fumée.

Non seulement je me suis rendu compte que je perdais en crédibilité lorsque je disais à des amis que je ne pouvais pas aller au restaurant avec eux en fin de mois, ou en week-end, parce que je n'en n'avais pas les moyens, alors que je trouvais toujours l'argent pour m'acheter des cigarettes ; mais aussi que je passais une partie des soirées dehors dans le froid à fumer au lieux de profiter de mes amis non fumeurs, au chaud et à rigoler avec eux.

Pire, je puais ! Mes fringues puaient, ma voiture puait, mon appartement puait. Un ex petit ami, non fumeur m'appelait son petit cendrier. On est loin du Pupuce ou de mon amour !

Pendant longtemps je ne voyais pas l'intérêt d'arrêter la cigarette. Et surtout je me trouvais de fausses bonnes excuses pour ne pas le faire. Soit, je vivais une période stressante, soit ce n'était pas le bon moment parce que les fêtes de fin d'année approchaient, soit je me déculpabilisais en me disant que j'arreterais, mais pas cette semaine parce qu'il y a une soirée chez des amis samedi soir ...

Et puis une amie, m'a mise au défit d'arrêter de fumer avec elle. J'ai accepter pour tenter en me disant qu'après j'aurais toujours la possibilité de refumer si j'en avais marre, ou si la vie de non-fumeuse ne m'amusait pas.

J'ai tenu 3 jours ! j'ai repris, puis arrêté de nouveau pendant 1 semaine, puis repris... Puis j'ai tenté l'hypnose ! Je pratiquais l'hypnose, mais l'arrêt du tabac est une spécialité à laquelle je n'étais pas formée. Alors je me suis mise du côté du consultant et non du praticien, et jai fais appel à un hypnotiseur spécialisé dans l'arrêt du tabac.

Résultat : J'ai découvert qu'il était possible de respirer sans douleur à la poitrine,  la cigarette n'appelant plus un autre verre, et inversement, instinctivement j'ai vue ma consommation d'alcool diminuer. Maintenant je sens bon, et ma fille ne dit plus que la voiture pue ! 

Visiblement cette nouvelle Moi non-fumeuse me plaît beaucoup, parce que je n'ai jamais repris.

C'est comme ça, que j'ai décidé de me former à mon tour sur l'arrêt du tabac par l'hypnose. Pour aider et accompagner, toutes personnes ayant envie de se liberer, et faire partie de la team des non-fumeurs et fier de l'être !

Le magnétisme, mythe ou réalité ?

D'aussi loin que je m'en souvienne, ma grand-mère et ses amies me soignaient avec des plantes et des prières chuchotées.

Une chute en vélo et un petit bobo ? Hop ! Quelques petits mouvements au dessus du bobo et quelques chuchotements que je ne comprenais pas, et c'était terminé. Je pouvais remonter sur mon bolide et retrouver les copains et les copines. Même plus mal !

Une entorse, une brûlure, un mal de tête etc... à chaque maux son chuchotement et ses petits mouvements. Parfois je voyais ma grand-mère fermer les yeux, lorsqu'elle était au téléphone, et je l'entendais chuchoter, puis rouvrir les yeux et dire "ça va aller, maintenant !".

Chaque fois que ma grand-mère posait les mains sur moi, je me sentais apaisée, mes douleurs disparaissaient peu à peu.

Ma grand-mère était une guérisseuse, comme on disait.

J'ai eu la chance de l'avoir pour mère. C'est elle et mon grand-père (pas du tout guérisseur) qui m'ont élevé et appris énormément. 

Ma grand-mère m'a appris comment passer le balais pour chasser les mauvaises énergies de la maison. Elle m'a appris à jeter du sel par dessus mon épaule pour conjurer un sort, elle m'a appris à tenir un pendule, et elle m'a appris que le pouvoir de l'esprit, le pouvoir de mes pensées pouvais me permettre de réaliser de grandes choses.

Puis j'ai laissé les années passer, et j'ai laissé ce pouvoir de la pensée et des mains derrière moi. J'ai fondé une famille, je suis passée d'un travail à un autre sans aucun lien, ni grand intérêt. Et pourtant chaque personne que je rencontrais, me parlait systématiquement du magnétisme. Je n'avais pas fait le lien entre ma grand-mère, ses copines, et le magnétisme. Je ne savais que ça s'appelait comme ça, jusqu'à ce qu'une nuit je me réveille en larme. Je n'étais ni triste, ni angoissée. Tout allait très bien dans ma vie. Et pourtant il m'était impossible d'arrêter de pleurer. Mes yeux pleuraient mais ma tête et mon esprit étaient en paix.

Le lendemain matin, mon père m'a appelé, et m'a posé une question qu'il ne me posait jamais : Tu as bien dormi ?

Je lui ai répondu que non, que j'avais pleuré sans raison toute la nuit, alors que tout va bien.

C'est à ce moment qu'il m'a répondu : Je suis désolé, c'est de ma faute ! J'ai fait une formation en Reconnexion et je devais faire un soin à quelqu'un, je t'ai choisi mais je ne t'ai rien dit.

OH !!!!! Bah mer** ! c'est puissant ! Mon père aussi est un guérisseur ?!

Et de là mon père m'a appris ce qu'était véritablement le magnétisme, la reconnexion, les énergies etc...

Il m'a fait travailler, comme le faisait ma grand-mère des années auparavant. J'ai réappris à sentir mon énergie, l'énergie des autres. A jouer avec les énergies et à développer mon pouvoir d'intention. Puis j'ai commencé à l'assister dans des soins qu'il pratiquait sur quelques uns de ses consultants, puis j'ai pratiqué de mon côté.

J'ai décider de suivre des formations, pour me certifier et en faire mon métier.

Seulement comme tout professionnel libéral, j'ai été victime du syndrome de l'imposteur. j'avais peur de me lancer, peur que cela ne fonctionne pas sur les autres. Même si je n'avais que des bons retours aux soins que je prodiguais j'avais peur de me faire payer pour en vivre. Alors je suis restée dans mon confort professionnel. J'ai continué à travailler dans une grande entreprise, pour un bon salaire, tout en sachant que je perdais mon temps et m'éloignais de mon chemin de vie. J'avais ma micro-entreprise pour faire quelques soins à qui le voudrait. Mais il fallait que j'avance dans cette voie. Que je me lance et que je saute le pas vers une véritable professionnalisation. 

Alors j'ai demandé à l'Univers (mettez le mot et l'appellation que vous voulez) de me me sortir de cette situation et de me donner l'occasion de vivre de mes soins. 

La vie m'a répondue ! 3 semaines plus tard on me diagnostiquait un cancer du sein. Avec une prise en charge immédiate (3 jours) pour ma première dose de chimo sans même passer mon dossier en commission par manque de temps au vu du stade et de la méchanceté du cancer. 

Les médecins ont été clairs : On va tout faire pour que ça marche, mais c'est déjà bien avancé ...

A ce moment là, je me suis dit, que si quelque chose pouvait me soigner, c'était moi !

Je me suis magnétisée, chaque jour. J'ai concentré mon énergie sur la boule tueuse que je pouvais sentir au touché. Avant même ma deuxième séance de chimio, l'oncologue à changé de tête lors de la palpation. La tumeur avait changée d'aspect. Elle devait molle et avait perdu en volume. Lui même n'en revenait pas. Et moi non plus !

J'ai continué à travailler sur ma tumeur et uniquement sur ma tumeur, sans savoir qu'elle avait fait des petits qui se propageaient dans le reste du corps. 

Tant est si bien que d'une tumeur de 4 cm, il n'en restait, lors de l'opération, que 0.00 cm. Il est écrit sur le rapport d'opération "trace" . La gynécologue qui m'a opérée m'a dit ne pas avoir compris, parce que la tumeur principale avait disparue comme si j'avais déjà subit un opération, mais que les métastases (dont je n'avais pas connaissance) avaient quand à eux cessé de s'installer et de se propager et avaient été comme figés dans le temps. ni plus gros ni plus petits. 

Imaginez si j'avais eu connaissance de ces métastases et que je les avais visualisés et magnétisés comme la tumeur principale ?

Grâce à ce cancer, j'ai compris la puissance et l'ampleur du pouvoir de l'intention et du magnétisme. A partir de là, je n'ai plus jamais laissé le doute prendre place dans mon esprit. Je PEUX et je VEUX aider les gens à prendre le chemin de la guérison !

Et comme la vie répond toujours à nos demandes, après plus d'un an d'arrêt maladie, j'ai été virée le jour de ma reprise. Mon poste avait été dissout pendant mon absence.

Alors je me suis dit : GO ! Maintenant tu es libre d'aider à temps pleins et de vivre de ce don, que tu partages avec ta grand-mère et ton père, mais surtout avec ma fille qui se prépare elle aussi à prendre la relève le moment venu. 

 

*Attention, je ne prétends pas guérir le cancer ou quelque maladie que ce soit. Je ne me substitue en aucun cas à un avis médical et à des soins médicaux prescrit par un médecin. Mon travail est de nettoyer, de recharger et de renforcer les énergies, d'accompagner dans la guérison et de permettre au corps du consultant de réactiver sa capacité d'auto-guérison.

l'hypnose transgénérationnel, trop spirituel et à la mode pour être vrai. Et pourtant !

Je connais et pratique l'hypnose depuis des années.

Mon père étant lui-même praticien hypnose Erickosienne, je me suis très vite rendu compte des possibilités qu'offraient cette pratique.

- Se relaxer Ok

- Arrêter de fumer Ok

- Gerer des peurs et des émotions Ok

- Se libérer de ses mémoires transgénérationnelles (dites akashique) ... heuuuu je demande à voir !

Déjà commençons par la notion de "transgénérationnelle". 

Ce mot résonnait en moi, comme une nouvelle forme de charlatanisme. Encore un truc de bobo en quêtes de spiritualité., qui ne durerait que le temps d'une mode.

En tant que magnétiseuse, je suis appelée à travailler sur les énérgies et j'entends parler des vies antérieures, de mémoires des murs et des lieux... Mais delà à me dire que l'on peut remonter son arbre généalogique, jusqu'à des membres qui nous sont inconnus, pour trouver l'origine d'un blocage, ou d'un schéma répétitif de notre vie, pour s'en liberer et casser le cercle vicieux... j'avais un doute.

Le temps passe, et cette pratique perdure, prend de l'ampleur et je peux lire et entendre des retours d'expériences plus que positifs.

Alors forcément, le jour où j'ai reçu un message d'une amie, me disant que l'un des participants qui suivait avec elle, sa dernière formation en hypnose avait besoin de "Cobaye" pour se perfectionner dans le cadre de l'obtention de son certificat, j'ai accepté de me faire hypnotiser pour tester le transgénérationnel.

C'était gratuit, sans danger, et le pire qui pouvait m'arriver, c'était de me détendre profondément... Donc GO !

Mon retour d'expérience :

Incroyable ! Suprenant ! Inatendu ... J'ai arrêté de cherche un qualificatif. Tout ce que je savais, c'était que :

1) ça fonctionnait ;

2) je venais de comprendre certaines choses sur moi-même ;

3) je voulais aller plus loin dans la démarche 

4) je voulais me former à mon tour, et l'integrer dans ma pratique professionnelle !

Aujourd'hui je prends un immense plaisir à chacune des séances que j'accompagne. Je suis toujours fascinée par la profondeur des messages que mes consultants reçoivent, et par le recit de leur voyage.

C'est pour toutes ces raissons, que j'ai hâte de vous accompagner à votre tour, pour ce voyage qui changera votre vie.